Salle des Fêtes

LOCATION DE LA SALLE DES FÊTES 

La salle des fêtes peut être mise à disposition aux tarifs suivants :

– Habitants de la commune : 300 €
– Habitants hors commune : 450 €

Lors de la signature de la convention d’utilisation, il est nécessaire de fournir une attestation d’assurance couvrant la période d’utilisation et une caution de 200€.

Pour les associations de la commune cette utilisation est gratuite.

En référence au procès-verbal établi par la commission d’arrondissement de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les établissements recevant du public en date du 22 juillet 2011 la capacité d’accueil ne peut excéder 80 personnes.

Le Conseil municipal

Madame le Maire : Sylvie COLOMBEL

1er Adjoint : Philippe LAVIEVILLE

Conseillers municipaux : Gilles CASALE – Olivier FRAYSSE – Jean-Pierre CHAUVET – Sébastien LAROCHE – Laëtitia MORIN – Mickaël ROMAIN – Marion BESSE – Charlène SOULIAC – Béatrice CASALE

 

Histoire du village

“L’histoire des Farges commence au Cheylard”, c’est ainsi que commence le livre de Paulette Fourniau, “Les Farges, une communauté rurale en Périgord Noir”, publié aux éditions “Les Indes Savantes”, en vente à la mairie. C’est un document fondamental qui retrace la vie des Farges des origines à nos jours.

En effet, le petit village du Cheylard, sur sa butte à 250 m, dominant la vallée de la Vézère est le 1er noyau de peuplement. Un texte du XVIIème siècle évoque la paroisse du Chalar ou Cheylard. Le village se développe autour de son église du XIème – XIIème siècle, dédiée à Saint Barhélémy et de son château mentionné seulement au XVème siècle, mais qui a sans doute succédé à une construction fortifiée érigée sur ce bastion.

Trois recensements donnent une idée de l’importance du village : celui du Prince Noir en 1365 donne 30 feux (environ 150 personnes), celui de 1402 ordonné par Louis d’Orléans, 135 habitants, c’est là qu’est mentionné le mas Las Fargas plus au Nord ; le dernier dénombrement en 1502, celui des Albret mentionne seulement 20 feux et spécifie que le village est “sans nul gentilhomme”. Triste constat qui fait du Cheylard, marqué par la guerre de Cent ans, une des plus pauvres paroisses de la seigneurie de Montignac, puis a continué à payer son tribut aux malheurs du temps : guerres de religion, soulèvements ruraux auxquels s’ajoutent les charges seigneuriales et les impôts.

Alors que le village du Cheylard périclite, le centre de la vie se déplace plus au nord, aux Farges, sans doute déjà plus peuplé et plus prospère que l’ancienne paroisse. Malgré les mauvaises récoltes, les fièvres et les épidémies, le village se développe surtout dans la 2ème moitié du 18è siècle, la population croît : 316 habitants en 1836, 345 en 1856. Pour l’essentiel, elle est formée de petits propriétaires qui exploitent leurs prés, champs et vignes. Deux domaines plus importants ont dû faire travailler quelques métayers, journaliers, celui de la famille de “l’Estable” à la Bertrinie (dont on en retrouve aucune trace dans la toponymie actuelle) et celui des “Rupin”, seigneurs de Puymège. La stabilité sociale n’est pas perturbée par la Révolution de 1789. Les nouvelles limites communales (814 ha) reprennent à peu près le tracé de l’ancienne paroisse. Tout au long du 19è siècle, les municipalités, avec peu de moyens régleront en 1860 la question du nouveau cimetière, et surtout décideront la construction de l’école achevée en 1883, puis fermée en 1969. Quant au problème de l’eau, il fut définitivement réglé par l’arrivée tardive de l’eau courante en 1976.

La polyculture vivrière continue à marquer les paysages de la commune : céréales, légumes, châtaigniers, noyers et même arbres truffiers. Quant à la vigne développée surtout après 1830, elle apporte une relative prospérité qui s’effondre avec l’arrivée du phylloxéra dès 1879.

La crise du phylloxéra aura de lourdes conséquences : baisse durable de la population (147 habitants en 1931, 136 en 1962), mais la société paysanne a disparu et avec elle, la vie traditionnelle faite de contraintes, mais aussi d’échanges et de solidarité indispensables dans ce modeste village. Toujours pas d’école, pas de commerce, un seul agriculteur, mais de nouveaux venus, jeunes ou moins jeunes, qui veulent vivre ici et à qui la commune doit apporter des réponses en matière d’aménagement et de vie sociale.

 

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Les syndicats

SYNDICATS COMMUNAUX

SIVOS : Syndicat Intercommunal à Vocation Scolaire AUBAS-AURIAC DU PERIGORD-LES FARGES

Titulaires : Sylvie COLOMBEL et Charlène SOULIAC

Suppléants : Sébastien LAROCHE et Marion BESSE

SDE24 : Syndicat D’Énergie de la Dordogne

Titulaires : Sylvie COLOMBEL et Philippe LAVIEVILLE

Suppléants : Sébastien LAROCHE et Gilles CASALE

SIAEP : Syndicat Intercommunal d’Alimentation en Eau Potable du Périgord Est

Titulaire : Béatrice CASALE

Suppléante : Sylvie COLOMBEL

SIVS : Syndicat Intercommunal à Vocation Scolaire (transports scolaires) MONTIGNAC

Titulaires : Sylvie COLOMBEL

Suppléants : Philippe LAVIEVILLE 

 

SYNDICATS INTERCOMMUNAUX

CIAS : Centre Intercommunal d’Actions Sociales (MONTIGNAC)

Titulaire : Sylvie COLOMBEL

Suppléant : Gilles CASALE

SICTOM : Syndicat Intercommunal de Collecte et de Traitement des Ordures Ménagères

Titulaires : Philippe LAVIEVILLE et Sylvie COLOMBEL

Suppléants : Sébastien LAROCHE et Olivier FRAYSSE

SMBVVD : Syndicat Mixte du Bassin Versant de la Vézère en Dordogne

Titulaire : Sylvie COLOMBEL

Suppléant : Philippe LAVIEVILLE 

L’EPIC : Office de Tourisme Lascaux-Dordogne, Vallée Vézère

Titulaire :  Gilles CASALE

Suppléante : Sylvie COLOMBEL

 

Cimetière communal

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Par délibération du 16 septembre 2016, le conseil municipal a décidé d’actualiser le régime de délivrance de concessions funéraires, c’est à dire d’emplacement du cimetière communal dont la jouissance est accordée spécifiquement à y fonder sa sépulture ou celle de sa famille, pendant une période plus ou moins longue, en référence aux articles L.2223-13 et L.2223-14 du code général des collectivités territoriales.

 Se renseigner à la Mairie